La Cour d’appel de Paris a condamné le scénariste Thomas Pone - de son vrai nom Thomas Ngomberi-Nlend - et le réalisateur Varante Soudjian à payer respectivement 130 995,43 euros et 89 185,56 euros à Axel Films Production, dans le cadre d’un litige qui les oppose depuis 2020, selon un arrêté du 26 mars dont Satellifacts a eu copie. En 2019, la société de production de Marc Fiszman et Christophe Cervoni avait signé avec le duo pour deux projets de films avec Ahmed Sylla, Challenger et First Dance, qui seraient écrits par les deux hommes et réalisés par Varante Soudjian. Des contrats de cession de droits d’auteur scénariste avaient été conclus, en présence de l'agence artistique Ubba,et Axel Films Production avait versé 126 035,43 € à Thomas Pone et 85 775,56 € à Varante Soudjian, auxquels se sont ajoutés deux fois 3 410 € de charges sociales. En 2020, les relations se tendent : le duo demande le versement des sommes restant dues pour leurs contrats, tandis que Axel Films Production invoque « le caractère indu des paiements ainsi exigés et la déloyauté de MM. Thomas Pone et Varante Soudjian dans l’exécution de leurs obligations contractuelles d’auteurs ». La société de production se rend par ailleurs compte que Thomas Pone n'était pas sa vraie identité, et que Thomas Ngomberi-Nlend a notamment publié deux ouvrages antisémites sous l’alias de Mathias Cardet. En mars 2023, le tribunal judiciaire de Paris avait annulé les contrats signés entre la société de production et Thomas Pone et constaté la nullité de ceux signés avec Varante Soudjian. Il avait toutefois débouté Axel Films Production de ses demandes de restitution et d’indemnisation, et cette dernière avait fait appel. La Cour d’appel de Paris a de son côté confirmé le jugement, mais a accordé à Axel Films Production ses demandes de restitution. Thomas Pone et Varante Soudjian sont par ailleurs condamnés in solidum à verser 15 000 € à Axel Films Production pour les frais de procédure, au titre de l’article 700 du code de procédure civile. A noter que le film Challenger a tout de même vu le jour, coscénarisé par Thomas Pone et Varante Soudjian et réalisé par ce dernier, mais avec Alban Ivanov dans le rôle-titre et produit par Alef Two (Nora Melhi et Jacques Essebag) et Les Enfants Terribles (Yohan Baiada). La comédie, distribuée par UGC, est sortie en octobre 2024 et a généré un peu plus de 286 000 entrées.
Quand il était député européen, il touchait 6.200 euros net mensuel + 4.300 d'indemnités mensuelles + 3O4 euros par jour de présence, + 4.243 euros par an pour transport )...
Jean-Luc Mélenchon est le fils cadet de Georges Mélenchon, receveur des Postes, télégraphes et téléphones (PTT), et de Jeanine Bayona, institutrice, tous deux nés français en Algérie. Il naît le 19 août 1951 à Tanger, au Maroc, alors zone internationale, où ses parents travaillent.
Son grand-père paternel, Antonio Melenchón est un Espagnol de la région de Murcie. Au début des années 1900, il s'installe à Oran, en Algérie alors française, et y épouse Aimée Canicio, elle aussi d'origine espagnole. Du côté maternel, son grand-père, François Bayonna, est né en 1889 près de Valence, en Espagne, et est marié à Jeanne Emmanuelle Caserta, une Italienne originaire de Sicile.
Née en 1974, la fille de Jean-Luc Mélenchon et de son ex-femme Bernadette Abriel est également l'épouse de l'homme politique Gabriel Amard, secrétaire national du Parti de Gauche.
Maire de Viry-Châtillon : 1995-2006
Conseiller régional d'Île-de-France : 1998-2001
Conseiller général de l'Essonne (canton de Viry-Châtillon) : 2001-2008 Vice-président du conseil général : 2001-2004
Président délégué du conseil général : 2006-2008
Président de la Communauté d’agglomération Les Lacs de l’Essonne : 2004-2014
C'est la "grand mère de Mélenchon, qui allait en char à bancs à Stahoueli et a été rapatriée en caravelle en 1962" qui doit être contente de la réussite de sa descendance.
Mélenchon contre la publication de son patrimoine par Europe1. Voilà, le masque est levé !
Mélenchon le chantre des sans-culottes et des sans-papiers l’anti-capitaliste ne veut pas que l'on sache comment il vit, ni quels sont ses revenus !
C'est bien un homme public qui vit avec de l'argent public
Mais en lisant la suite, vous allez comprendre.
Monsieur Mélenchon possède un petit appartement dans le 15e à Paris.
Oh, il ne fait que 218 m2 : (une chambre de bonne somme toute !) Qui est évalué par 'Immo consulte' entre 1 million quatre cent mille euros et 1.5 million d'euros, une bagatelle !1.500.000 EUROS
puis il a hérité d'une chaumière en Dordogne sur un terrain de 1,4 hectare de 9 pièces et dépendances évaluée à sept cent dix mille euros.710.000 EUR
Puis de sa tante d'un studio à Deauville pour aller se faire bronzer ! Avec vue sur mer SVP...
Évalué à pas cher, car seulement deux cent vingt mille euros 220.000 EU!!
Pour finir 3 voitures, une C6 exclusive Citroën à 44 000 euros, une vieille 206, et une Clio pour aller faire les courses...on fait le compte nous arrivons (sans compter la 206 !!) à
DEUX MILLIONS QUATRE CENT SOIXANTE-CINQ MILLE EUROS (2.465.000 euros) !!!!!!
Voilà, on comprend mieux pourquoi M. Mélenchon ne veut pas dévoiler son patrimoine... Les smicards, les ouvriers, les chômeurs, les pauvres, les RMIstes, les RSA, etc., et la "classe moyenne" apprécieront...
Un grand patron doit publier son patrimoine et M.Mélenchon, homme public qui vit avec l'argent des contribuables, NON ?
EN RÉSUMÉ :
(à noter: informations de quelques années)
Patrimoine de 2.465.000 euros
et il perçoit CHAQUE MOIS
DÉPUTÉ EUROPÉEN : 19 105€
SÉNATEUR de l'ESSONNE :17 000€
donc 36.105€ par mois d'argent public
+ remboursement des frais de: avion, taxi, téléphone, poste, SNCF, etc.
Pas mal pour quelqu’un qui se dit anti-capitaliste et qui n’aime pas les riches !
Après la diffusion de témoignages de Gazaouis décrivant leurs conditions de vie difficiles, le Conseil de la fatwa de Nadjaf en Irak a décidé d’émettre un décret à l’encontre du mouvement islamiste au pouvoir dans l’enclave palestinienne.
C’est une décision à la fois symbolique et potentiellement retentissante dans le monde arabe. Après le Conseil de la fatwa des Emirats arabes unis et le Conseil des hauts savants d’Arabie saoudite, qui ont tous les deux désigné le mouvement des Frères musulmans comme organisation terroriste, le Conseil de la fatwa de la ville sainte chiite de Nadjaf en Irak vient d’adopter une « fatwa », un décret religieux islamique, à l’encontre du groupe islamiste palestinien Hamas, branche du mouvement frériste, au pouvoir dans la bande de Gaza.
« Le Hamas porte la responsabilité de son règne de corruption et de terreur à l’encontre des civils palestiniens à Gaza », affirme le texte de la fatwa émise par trois juristes musulmans renommés d’Irak et du Pakistan : le grand ayatollah Fadel al-Budairi, le cheikh Abdallah al-Dheeban, grand mufti sunnite du gouvernorat de Wasit, et le pair pakistanais Syed Mudassir Nazar Shah, du Conseil international soufi. Elle ordonne aux croyants : « Il est interdit de prier pour lui [le Hamas, NDLR], de le rejoindre, le soutenir, le financer, ou de se battre au côté du Hamas – une entité qui adhère à l’idéologie des Frères musulmans. »
Le Hamas visé par une fatwa
le 5 janvier 2023. (CONSEIL ISLAMIQUE DES FATWAS)
Une décision justifiée par la situation dans la bande de Gaza, selon le porte-parole de l’organisation, Muhammad Ali al-Maqdisi, joint au téléphone. « En tant qu’organe éducatif et jurisprudentiel islamique, nous sommes attentifs aux conditions de vie de toutes les personnes opprimées à travers le monde. Et nous les soutenons grâce aux moyens qui sont les nôtres, c’est-à-dire la loi islamique. » Pour cet érudit, enseignant au séminaire islamique de Nadjaf, « en observant la souffrance du peuple palestinien de Gaza qui vit sous la férule du Hamas, nous avons compris qu’il était de notre devoir de musulmans de soutenir les opprimés car notre religion nous ordonne de “nous opposer aux oppresseurs et de soutenir les opprimés”. » Témoignages
Les conditions de vie difficiles des habitants de la bande de Gaza ne sont pas nouvelles. L’enclave palestinienne de 365 km², qui abrite 2,2 millions d’habitants, subit un blocus d’Israël, épaulé par l’Egypte, depuis la prise du pouvoir par le Hamas en 2007. Les perspectives d’emploi y sont extrêmement limitées, et 65 % de la population vit sous le seuil de pauvreté. Quant aux libertés individuelles, elles sont réduites à néant. En outre, les Gazaouis subissent régulièrement des raids israéliens en représailles aux tirs de roquettes sur Israël, qui ajoutent une immense colère à la misère.
Arrivé au pouvoir dans l’enclave palestinienne en 2007, le Hamas se maintient grâce à un climat de peur qu’ont dénoncé ces dernières semaines des habitants dans des vidéos anonymes diffusées sur les réseaux sociaux. Des témoignages qui ont contribué à influencer le Conseil islamique de Nadjaf. « Dans ces vidéos, de nombreux Gazaouis, hommes et femmes, décrivent l’oppression qu’ils subissent sous la férule du Hamas, et témoignent de ses nombreuses formes d’extorsion et de terreur. L’humanité entière devrait prendre cela en considération. Cela a renforcé la nécessité d’émettre une fatwa en faveur des innocents et des pauvres de Gaza, ce qui répond à notre obligation islamique », affirme Muhammad Ali al-Maqdisi.
Aussi forts que puissent être les termes de la fatwa, celle-ci reste une position symbolique de dignitaires religieux. Elle pourrait toutefois avoir des conséquences : « Nous espérons que le monde musulman soutiendra les opprimés de Gaza et suivra notre position. Contrairement à ce que les apparences peuvent laisser penser, un grand nombre de gens ordinaires ne soutiennent pas l’action du Hamas », assure le porte-parole du Conseil de Nadjaf.
Narratif religieux
Pour Ghaith al-Omari, collaborateur émérite du think tank américain Washington Institute, « cette fatwa représente un défi direct à la légitimité du Hamas – une organisation qui se définit elle-même en termes religieux islamiques – et remet en question sa prétention à représenter l’islam. » Ancien conseiller de l’équipe palestinienne des pourparlers de paix avec Israël en 1999-2001, al-Omari estime, certes, que la démarche « peut ne pas avoir d’effet immédiat sur la gouvernance de Gaza dans la mesure où elle est maintenue par la force. Mais à plus long terme, une telle prise de position représente un sérieux défi au discours du Hamas ».
En particulier, en raison du caractère pluriel des autorités religieuses à l’origine du texte. « Il est important de remarquer que sunnites et chiites voient ici les choses à peu près dans le même sens, affirme Paul Armstrong, à la tête de l’association des musulmans britanniques. Tuer ou s’en prendre à des innocents n’est autorisé en aucune circonstance pour l’islam dans l’ensemble de ses obédiences. Peu importe que ces civils soient des Palestiniens, des Israéliens ou n’importe qui d’autre. » Un moment très politique
Et si le porte-parole du Conseil de Nadjaf, Muhammad Ali al-Maqdisi, assure que l’instance « n’agit pas selon tel ou tel intérêt politique », cette prise de position à l’encontre du Hamas, un mouvement sunnite soutenu par l’Iran chiite, est en réalité éminemment politique. « Le rôle clé joué par l’ayatollah Budairi dans l’émission de la fatwa démontre qu’un nombre croissant de chiites rejettent l’autorité religieuse et politique du régime iranien, lequel soutient politiquement, financièrement et militairement le Hamas », indique le spécialiste du monde arabe Joseph Braude, président du Center for Peace Communications.
On pense en particulier à l’ayatollah Ali al-Sistani, l’une des autorités chiites les plus respectées, qui, depuis Nadjaf en Irak, est le seul à pouvoir rivaliser avec le guide suprême de la révolution islamique iranienne. « De la même manière, le fait que le mufti sunnite d’un grand gouvernorat irakien se soit joint à l’approbation de la fatwa reflète la désillusion du monde sunnite vis-à-vis des islamistes palestiniens qui prétendent défendre la communauté des croyants sunnites. C’est un message puissant qui sera entendu dans la bande de Gaza à majorité sunnite », affirme Joseph Braude.
Alors qu’Israël a entrepris, depuis les accords d’Abraham en 2020, un rapprochement diplomatique avec les Emirats arabes unis et Bahreïn, puis Oman, le Maroc et le Soudan, et peut-être bientôt l’Arabie saoudite, gardienne des villes saintes de La Mecque et Médine, le porte-parole du Conseil de la fatwa de Nadjaf Muhammad Ali al-Maqdisi adresse un appel à la paix au Hamas et à ses soutiens. " « Des milliers d’innocents sont morts. Pourquoi ne pas vous asseoir avec vos frères palestiniens et prendre la décision conjointe d’avancer dans la paix sur cette terre, de vivre en paix sur ce territoire qui provoque tant de tensions à travers le Moyen-Orient ? »"
« Certes, dans une dictature comme Gaza, les critiques se font mezza voce, affirme Joseph Braude. Mais cette fatwa, qui fragilise un peu plus le discours de “pureté morale” du mouvement, peut venir renforcer les voix critiques à son endroit. En quinze années au pouvoir, le Hamas a échoué sur les trois plans clés de son pouvoir : la gouvernance (la situation dans la bande de Gaza est catastrophique), la résistance armée (rien n’avance dans son combat contre Israël), et sa légitimité religieuse (comme la fatwa le démontre). Et après tout, on ne sait jamais quand et comment un régime craque. »
Depuis la création de leur association en Préfecture du Cher, BTA a
rassemblé plusieurs dossiers sur la DNR. La goutte qui a fait déborder
le vase est venue de la menace d’attentat au dîner du Crif de la part de
Guillaume CAPRON alias Yom Shoah, rappeur très connu dans la mouvance
nationaliste.
Plusieurs membres de la DNR nous ont aussi volontairement aidé à rassembler des informations essentielles, ci-dessous.
La DNR est une
réminiscence de la Jeunesse Nationaliste Révolutionnaire (JNR), groupuscule d’extrême-droite
administrativement dissous par un décret en 2013. La DNR est donc un
groupuscule fasciste composé de skinheads néonazis. Ils s’appliquent à employer
une grande violence dans les propos, les publications et les actes.
Leurs haines :
antisémitisme, homophobie, suprémacistes, racisme
La Division Nationaliste Révolutionnaire est déclarée en préfecture comme association à but caritatif.
Ainsi comme le précise La Horde dans son article, le dirigeant Jeff
Johann Pierre (Sébastien Raymond ) Faust obtînt une tribune grâce à un
journaliste peu scrupuleux .
Exemple, sur France 3, on
peut entendre Faust affirmer : « on est là pour aider les gens », ou
encore dans le Parisien, prétendre que la DNR est « une association
nationaliste à but caritatif » .
Caritatif comme leur blog où l’on pouvait il y a 15 jours encore y trouver en vente toutes sortes d’objets à caractère Nazi .
Il suffit de lire leur charte mais surtout leur ligne politique pour comprendre leurs intentions :
Son président Jeff Johann Pierre Sébastien Raymond Faust
habitant de Garchizy ne donne pas dans la dentelle . On commence jeune
chez les Faust : il diffuse des photos de lui en train d’éduquer sa
fille aux rudiments du national-socialisme !
Son métier est tatoueur.
Cependant, il est depuis quelques mois en situation de faillite personnelle
après avoir fait couler une entreprise familiale spécialisée dans la plomberie
dont il a hérité de sa belle famille.
Il a réussi à évincer
plusieurs membres historiques de la DNR, ce qui lui a permis d’en prendre le
pouvoir. Il se prend pour le nouveau fuhrer.
Nous nous demandons donc bien de quelle manière il interprète le terme caritatif ?
La DNR est-elle à
l’agonie ?
Plusieurs de ses membres ont fait défection, le président, en
faillite personnelle, est criblé de dettes et doit piocher dans la
caisse de l’association pour survivre .
La DNR en France et ailleurs
Ils essaient de s’étendre, recrutent de nouveaux membres et commencent à avoir des ramifications à l’étranger aux Pays Bas …
Leur but serait de
fédérer toutes les mouvances d’extrême droite en un seul parti .
Nous les surveillons de loin depuis de longs mois.
Postant leur infamie
dégoulinante rappelant les heures les plus sombres de l’histoire sur le
Facebook Russe VK , il nous a été facile de les suivre , et de tomber sur
certains de leurs posts et commentaires d’un autre temps et de transmettre le
dossier de l’un d’eux aux différents acteurs de la lutte contre
l’antisémitisme.
Et là oh miracle !
Deux d’entre eux pris de
panique nous contactèrent en message privé ….
Le premier à nous avoir contacté est Arnaud Largentier, alias David Franck en est la preuve
vivante. Ancien membre du PNF, parti d’Yvan Benedetti , chassé et menacé de
mort par ce dernier , a rejoins la DNR en mars 2019. Appelé aussi Pousse Crottes par ses amis , il nous
avait contacté au mois de mars pour nous demander d’enlever son nom de nos
posts en échange de quoi nous n’entendrions plus parler de lui .
Arnaud n’a pas tenu ses promesses et beaucoup au sein même de la DNR commencent à se poser des questions quand à sa loyauté.
Le deuxième est Fabien
Ravanello, le
quinquagénaire bipolaire, défoncé à coup de cachetons du matin au soir, décida
un beau jour de nous contacter, histoire de régler ses comptes avec Faust, à
qui il commanda un blouson de la DNR, mais dont il ne vit jamais la couleur. Le
mec pour une histoire de 100 euro balancerait père et mère.
Il possède une dizaine de comptes sur les réseaux sociaux.
Le trésorier de la DNR : DUDOGNON Sébastien
Sebastien est cuisinier, pâtissier
spécialiste des pavlovas roses, son amie professeur de langue à l’Education
Nationale …. . Il aurait tout pour
être heureux, mais certaines pathologies restent incurables.
Il écope de trois mois de
prison avec sursis et de 4.000€ d’amende pour une publication Facebook
mais Sébastien Dudognon
se vante d’être fiché S. Ancien
secrétaire départemental du Front national de la Jeunesse en Corrèze, il
a été condamné en 2018 à trois mois de prison avec sursis et 4000 euros
d’amende pour incitation à la haine raciale suite à une publication sur les
réseaux sociaux.
Il sert à renflouer les caisses de la DNR lorsque Faust a fait ses
courses. Il sert aussi à aboyer sur les membres qui s’écartent du chemin
tracé par Faust. Il se montre souvent menaçant et très violent.
Autres membre déjà condamnés
Teddy BATISTA
C’est l’un des plus
déjanté de la bande . Un skinhead qui ne sort jamais sans son Glock .
Évidemment sont casier
est loin d’être vierge , mais cela ne l’empêche pas d’avoir postulé
dernièrement pour entrer chez les pompiers….
Ce genre d’individu ne doute de rien .
Gaby dit le goy, déjà incarcéré pendant 1 an pour trafic d’armes, il est en
attente de son jugement qui devrait prolonger la peine d’au moins 2 ans. Il a
été chassé de la DNR pour une histoire de discussion interdite avec une fille
déjà réservée par un autre membre : Dimitri Rousseau.
L’unité n’est pas leur point fort. Depuis, il est régulièrement harcelé par les sbirs de Faust.
Voici Guillaume Capron, alias Yom Shoah
incarcéré au mois de juin pour un post appelant à faire un massacre au dîner du
CRIF . Encore un enfant de cœur !
Guillaume Capron
Lors de son arrestation ,
les inspecteurs ont pu trouver en sa possession : fausses monnaie , faux
papiers , armes , plus toute la panoplie du parfait Nazi .
Il est actuellement incarcéré à Luynes.
À Bordeaux c’est Thomas Bégué, Membres du parti de
France, mais aussi animateur du bar le Menhir où se retrouve toute
l’extrême droite bordelaise. C’est d’ailleurs Bégué lui même qui dessina
le logo de la DNR Paris lors de son lancement en 2018. C’est par
l’intermédiaire de Dudognon qu’il entre en contact avec la DNR. Tous
deux anciens du FN , Dudognon était secrétaire départemental du FNJ de
Corrèze, et Thomas Bégué Secrétaire départemental adjoint chargé de
l’action militante en gironde.
Plusieurs plaintes ont
été déposées et nous demandons la dissolution de cette association à but caritatif
ainsi que la saisie de tout article lié à cette dernière.
Nous continuerons à les surveiller et à recueillir les divers
témoignages que nous recevrons de la part de leurs anciens membres.
Lyon: le 14 novembre pour demander la libération de Georges Ibrahim Abdallah, ils n'hésitent pas à mettre en scène avec une poupée représentant Benjamin Netanyahou brulé vif , devant l'entrée d'un Mac Donald, qu'ils n'oublient pas de dégrader et taguer.
C’est la deuxième fois en moins d’un mois que ce type de mannequin avec un masque de Benyamin Netanyahou est brûlé en France. La dernière fois, c’était le 28 octobre à Lannemezan, devant la prison où Georges Ibrahim Abdallah est écroué. Ces militants restent-ils toujours dans le cadre de la libre expression de leurs opinions politiques lorsqu’ils brûlent un mannequin à l’effigie du premier ministre d’Israël ?
Pourquoi ce nom, "Fosse Aux Lyons" ? Tout simplement en soutien à La Fosse aux lions (en arabe: عرين الأسود) groupe armé opérant en Palestine.
Le groupe a émergé en . Il a été fondée par un Mohammed al-Azizi, plus communément appelé « Abu Saleh »
Nous considérons ces faits comme des incitations à la haine ainsi qu'aux meurtres ! Ce genres de manifestations sont un réel danger pour nos concitoyens de confession juive. Nous avons donc fait remonter tous les éléments pouvant conduire à l'interpellation des membres de ce groupuscule proche des Frères Musulmans ainsi que de mouvements terroristes.
Hier soir, au Parc des Princes, lors du match de Ligue des Champions #PSGATM, la direction du @PSG_inside a laissé la tribune des ultras dirigée par Romain Mabille déployer un tifo représentant Abu Obeida, porte-parole du Hamas, reconnaissable à sa veste militaire verte aux poches plaquées et son keffieh rouge et blanc.
Ceci n’est pas un tifo pro-palestinien prônant la paix, mais une apologie du terrorisme appelant à la destruction d’Israël, déployée par une tribune désormais infiltrée par des islamistes (info vérifiée). Comment une telle banderole a-t-elle pu rentrée dans le stade sans une complicité interne ? !
Ce club, bien que temporairement détenu par un État sponsor des frères musulmans et du terrorisme, restera à jamais le club de la capitale 🇫🇷, fondé par une majorité de personnalités juives.
Les ultras ont fait le retour au Parc des Princes en 2016 . Principalement originaire des banlieues parisiennes, ils se frottent au public plus bourgeois du PSG et politisent les tribunes.
À leur tête Romain Mabille ex fondateur de la Gaza Firm et ancien recruteur dans les cités des fans de Dieudonné.
Sept ans après le retour au stade parisien du Collectif Ultras, certains supporters du Paris Saint-Germain déchantent devant le virage pris par cette section. Lutte de pouvoir, pression, éviction de groupes, communautarisme et radicalisation : le nouveau visage des supporters du Paris SG.
En 2016 un an de prison avec sursis avait été requis contre Romain Mabille, président du Collectif Ultras Paris (CUP). Le parquet de Troyes avait requis ce un an de prison avec sursis, 1 000 euros d'amende, une interdiction de porter une arme et de se rendre dans l'Aube pendant deux ans et une interdiction de stade de trois ans contre Romain Mabille. Le président du Collectif Ultras Paris (CUP) est accusé de divers faits de violences lors d'une rixe contre des supporters rémois en avril 2016.
En 2017 le PSG envoyait un courrier au préfet de police de Paris, Michel Cadot, signé par le président Nasser al-Khelaïfi. L'objet de cette lettre ? Demander à ce que Romain Mabille, le président du Collectif Ultras Paris (CUP), soit autorisé à entrer en tribunes lors des matches au Parc des Princes.
Le PSG et sont président sont donc complices de cet acte faisant l’apologie du terrorisme.
Nous demandons des sanctions exemplaires contre ces deux responsables.